Frais engendrés par l’usine d’eau potable : Québec doit faire sa juste part selon Gracefield
Si elle devait représenter la fin des soucis pour Gracefield et ses résidents, l’usine d’eau potable, inaugurée en 2009, s’avère être un gouffre financier pour la Ville, aux dires du maire Caron. Depuis sa construction, l’infrastructure a nécessité des investissements de milliers de dollars.
Depuis plusieurs années, la Ville tente d’obtenir une aide financière de la part de Québec afin de l’aider à absorber les coûts engendrés par cette infrastructure. La plus récente offre du gouvernement n’était pas satisfaisante, selon le maire, Mathieu Caron, qui rappelle qu’à l’époque l’usine avait été imposée à Gracefield :
La Ville confirme être en démarche auprès du député de Gatineau, Robert Bussière, afin de faire cheminer ce dossier. Le maire Caron explique que les compensations reçues de Québec pour les édifices gouvernementaux situés à Gracefield sont nettement insuffisantes :
En décembre dernier, Gracefield a déboursé 45 000 $ à la suite de travaux qui avaient dû être effectués à l’usine d’eau potable.
Le maire Caron confirme qu’il continuera à exercer de la pression sur le gouvernement du Québec afin de trouver une solution dans le dossier de l’usine d’eau potable.