Les locataires de terres publiques se trouvent trop taxés
Le regroupement des locataires des terres publiques et ses représentants trouvent que leurs membres sont trop taxés, surtout quand vient le temps d’apporter des améliorations aux chemins qu’ils empruntent. Une situation qui a été décriée par le vice-président provincial du R.L.T.P., Jacques David. D’ailleurs, une rencontre à ce sujet a été organisée en début de semaine dernière avec des représentants de la MRC de la Vallée-de-la-Gatineau.
Premièrement, Jacques David croit qu’il y a une iniquité dans les montants imposés aux locataires de terres publiques pour l’amélioration des routes, notamment :
Les propriétaires de chalets en territoires libres sont bien conscients que quelqu’un doit payer pour les travaux faits pour améliorer le chemin qu’ils empruntent pour se rendre à leur chalet. C’est plutôt le fait que les autres utilisateurs de la forêt et des routes forestières ne sont pas obligés de payer, alors que les membres du R.L.T.P. reçoivent leur compte de taxes par la poste et sont contraints de les payer. Jacques David dénonce aussi la présence d’usagers « illégaux » dans les forêts :
Mentionnons que ce dossier fait suite à l’annonce de l’imposition d’une taxe d’amélioration locale par la MRC de la Vallée-de-la-Gatineau, dans le but de réparer le pont qui mène à la rivière Bélinge, entre autres choses.