Lutte au myriophylle à épis : Sainte-Thérèse embauche une biologiste

Sainte-Thérèse-de-la-Gatineau a l’intention de s’attaquer à un banc de myriophylle à épis qui a été identifié près de la rampe de mise à l’eau publique de la municipalité au lac des Trente-et-un milles.

Elle compte procéder à l’installation de toiles de jute sur une surface de 1200 mètres ² afin de contrôler la propagation de cette plante exotique envahissante.

Pour aller de l’avant, la municipalité doit obtenir un certificat d’autorisation du ministère du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques du Québec.

Pour être conforme aux normes en vigueurs, Sainte-Thérèse-de-la-Gatineau doit assurer un suivi de la pose des toiles de jute. Les élus ont donc profité de la dernière séance du conseil pour octroyer un contrat à la biologiste Annie Parent. Le maire, André Carle, poursuit l’information :

L’installation de ces toiles devrait engendrer des dépenses estimées à près de 3 000 dollars.

C’est une étude menée l’an dernier par les 4 municipalités impliquées dans la création du Parc régional du lac des Trente-et-un milles. Comme le mentionne André Carle, un autre banc de myriophylle à épis a été détecté au lac des Trente-et-un milles lors de cette étude :

Des toiles de jute devraient y être installées au courant de l’été, si les équipements nécessaires à l’installation sont disponibles.