Une réouverture compliquée par la pénurie de main-d’œuvre
Ce ne sont pas tous les restaurateurs val-gatinois qui ont l’esprit à la fête, aujourd’hui, puisque le manque de main-d’œuvre complique le processus de réouverture.
La gérante du Maniwaki Pizza, Claire Lyrette, a pris la décision de ne pas ouvrir sa terrasse, ni sa salle à manger, le temps de trouver une solution à ce problème, contrairement au propriétaire du Resto le Notre-Dame, Guy Thériault, qui compte ouvrir ses portes aux clients malgré un effectif réduit.
Dans les deux cas, la situation n’est pas idéale, alors que la qualité du service pourrait être affectée par cet enjeu. Écoutons Claire Lyrette, du Maniwaki Pizza, et Guy Thériault, du Resto le Notre-Dame :
De son côté, Pierre Riel, propriétaire du restaurant l’Huile d’Olive à Bouchette, affirme qu’il est plus ardu de trouver des employés dans le secteur de la restauration comparativement aux années précédentes. On l’écoute :
Mentionnons que les restaurateurs, incluant ceux qui ont commenté dans le cadre de cet article, sont heureux à l’idée de retrouver leur clientèle, en dépit de cette situation.
À compter d’aujourd’hui, les rassemblements extérieurs privés sont autorisés pour 8 personnes de différentes résidences ou les occupants de deux résidences avec distanciation. Les déplacements entre régions seront également permis et le couvre-feu sera levé.
Les restaurateurs pourront ouvrir leurs terrasses pour y accueillir deux personnes par table.